Le jour 1 se compose de deux parties – la stratégie et l’étude. Décomposons-les plus en détail.
Jour 1 – Étape 1 : Stratégie
La stratégie est une partie importante du processus et commence en fait dans les premières étapes de la planification, qui devrait avoir lieu des mois avant que le sermon ne soit réellement prêché. Il est important de regarder l’année devant vous et de commencer à réfléchir à votre plan de prédication afin de pouvoir créer un calendrier de prédication qui vous donne un cadre vers lequel aller.
Cette étape de planification précoce est vraiment celle où la stratégie commence à prendre forme. Au cours de votre planification précoce, vous regarderez des choses comme les sujets sur lesquels vous voulez prêcher, les livres de la Bible ou certains passages d’écriture à partir desquels vous voulez enseigner, etc.
Une fois que vous avez une idée générale de vos sujets d’enseignement, vous voudrez cartographier où et quand vous prêcherez chaque série, tout en structurant les sujets de sermons hebdomadaires qui iront dans chaque série, ce qui inclura également les passages à partir desquels vous allez prêcher.
C’est une stratégie à long terme qui vous aidera à développer et à prêcher efficacement chacun de vos sermons et qui vous mettra vraiment sur la voie du succès lorsque vous irez faire votre planification hebdomadaire.
Regardons de plus près comment vous allez tracer vos sermons hebdomadaires au sein de chaque série…
Dans la série de sermons, choisissez le titre du sermon, le passage biblique et les grandes idées du message. La grande idée du message est un résumé en une phrase du point principal avec lequel vous voulez que votre congrégation reparte.
Notez ce qui se passe lorsque vous suivez ce système : Des mois avant de prêcher un sermon, vous élaborez un plan. Vous avez établi un plan pour l’année puisque vous avez créé votre calendrier de prédication, vous avez choisi des séries de sermons à placer tout au long de l’année et les avez réparties sur certaines semaines de votre calendrier, puis vous avez affiné encore plus en détaillant le message de chaque semaine avec l’Écriture sur laquelle vous voulez vous concentrer pour cette semaine et la grande idée avec laquelle vous voulez les laisser.
Ce type de planification précoce vous mettra sur la voie du succès et vous donnera la capacité d’écrire votre sermon en sept jours avec facilité et intention.
Après votre planification précoce du calendrier, vous pouvez mettre ces plans de côté jusqu’au moment d’écrire votre sermon.
Jour 1 – Étape 2 : Étude
Le lundi matin est arrivé et vous vous êtes mis en place avec succès parce qu’aujourd’hui est le jour où vous allez passer à la partie étude, qui donne le coup d’envoi de votre calendrier de rédaction de sermon en 7 jours.
Sortez votre plan pour le week-end à venir et concentrez toute votre première journée sur l’étude du passage que vous avez prédéterminé pour ce week-end à venir.
- Observez ce que les personnages disent et pourquoi ils le disent
- Soulignez les mots et les phrases clés
- Observez le texte et prenez des notes
Commencez l’étude formelle par la recherche. Que disent les érudits et d’autres écrits de confiance ? Notez ce que vous apprenez, prenez des notes et documentez les détails.
L’outil Sermonary est une excellente ressource pour vous permettre de rédiger votre sermon et de documenter vos notes en cours de route. Il vous aidera à conserver toutes vos notes au même endroit dans un système organisé et facile à naviguer.
Vous n’utiliserez probablement pas toutes les informations que vous recueillerez pendant votre phase d’étude, mais ce que vous trouverez contribuera à alimenter votre enseignement, la direction que vous voulez prendre avec votre sermon, et aussi à clarifier votre message en cours de route.
Il y a une dernière étape dans ce processus qui est essentielle, et c’est de revenir au plan préliminaire que vous avez créé il y a des mois (pendant votre stratégie de plan de prédication) et de comparer votre plan de grande idée d’alors à ce que vous venez de lire, d’étudier et de rechercher.
Est-ce que quelque chose a changé ?
Avez-vous eu de nouveaux apprentissages depuis votre étude récente ?
Comment le processus et le temps d’étude intentionnel que vous avez fait ont façonné ou changé l’angle que vous voulez prendre vers la grande idée de votre message ?
Si quelque chose a changé, vous voudrez le noter ici. Veillez à vous ajuster pour que votre nouvelle vision soit établie et clairement notée. Vous pourrez alors rédiger votre sermon avec un objectif clair.
Prendre le temps de bien établir une stratégie dès le début ne fera que vous mettre sur la voie du succès lorsque viendra le temps de préparer le sermon du week-end suivant. Commencer le premier jour avec une journée complète d’étude dédiée posera une base solide pour le reste de votre semaine.
Une fois que vous avez une journée complète d’étude derrière vous, vous pouvez être assuré que vous êtes prêt pour un jour deux fort.
Journée 2 : s’accrocher et tracer les grandes lignes
Le premier jour, nous avons examiné la stratégie et votre planification à long terme, puis nous vous avons montré comment creuser en profondeur et étudier les passages que vous avez l’intention d’utiliser pour le sermon de la semaine.
Ce travail est essentiel car vous posez les bases de votre sermon chaque semaine. Avoir un cadre solide à partir duquel vous pouvez construire et créer vous aidera à être plus efficace dans la rédaction de votre sermon, car tout ce que vous faites à l’étape 1 parlera dans ce qui vient ensuite.
Journée 2 – Étape 1 : Créer une déclaration collante pour votre sermon
Maintenant que vous avez posé vos fondations, il est temps de passer à la journée 2 : collante. C’est ici que nous décrivons comment appliquer le message à vos gens.
Alors que vos gens ont besoin de grandir dans leur connaissance des écritures et de ce que Dieu a à leur dire, il est encore plus important pour votre congrégation d’apprendre à appliquer le message à leur vie quotidienne.
Un sermon collant équivaut à une application. Et votre sermon n’est qu’un tas de mots s’ils ne sont pas suivis d’une application.
Collant commence par la création de ce qu’Andy Stanley appelle » une déclaration collante « .
Lorsque vous réfléchissez à ce concept, pensez à ceci : Quelle est une déclaration que vous pouvez partager avec votre congrégation et dont elle se souviendra ? Il s’agit d’une phrase qui résume la grande idée de votre sermon. Elle doit être concise, mais facile à mémoriser pour qu’ils puissent l’emporter avec eux une fois le message terminé.
Le but de la déclaration collante est de leur donner quelque chose à quoi s’accrocher pour qu’ils se souviennent non seulement des mots prononcés dans votre sermon, mais aussi qu’ils l’utilisent pour appliquer ce qui a été enseigné.
Avoir un sermon collant signifie que lorsqu’ils s’en vont, ils n’oublient pas tout ce que vous avez dit, mais au contraire, ils s’accrocheront aux phrases et aux concepts collants dont vous avez parlé et auront quelque chose à emporter avec eux et à appliquer dans leur vie.
Regardons comment vous pouvez effectivement créer votre propre déclaration collante.
Typiquement, le mardi matin, vous voudrez vous concentrer sur la façon de rendre votre message collant. Regardez votre passage prédéterminé et la grande idée de votre sermon.
Alors que vous vous concentrez et étudiez ce message, quelle est une déclaration qui englobe le message ? Quelle est une phrase qui communique ce que vous voulez que votre congrégation reparte avec ?
Cette déclaration collante peut prendre un certain temps à affiner. N’ayez pas peur de noter plusieurs phrases et idées au fur et à mesure que vous étudiez votre matériel. Plus vous écrirez, plus vous aurez de clarté.
Tout à l’heure, vous arriverez à votre énoncé accrocheur. Et la bonne nouvelle, c’est que plus vous vous exercez à créer des énoncés accrocheurs, plus vous y arriverez.
Une fois que vous avez votre énoncé accrocheur, il est temps de déterminer le point global de ce que vous essayez de communiquer ou de laisser aux gens. C’est votre objectif final.
Journée 2 – Étape 2 : Établir votre objectif final
Demandez-vous : » Quel est mon objectif final pour ce message ? « . Ou en d’autres termes, » quelle action est-ce que je veux que ma congrégation entreprenne après avoir entendu ce message ? «
Que voulez-vous que vos gens repartent avec après l’avoir entendu ?
Comment voulez-vous qu’ils se sentent ?
Quelle action voulez-vous qu’ils entreprennent ?
Lorsque vous commencez à planifier vos messages, vous devriez toujours avoir un objectif final en tête. Il est important d’être clair sur ce que c’est au départ, car cela aidera à réduire la façon dont vous développez le reste de votre sermon, car vous vous assurez que tout doit toujours revenir à l’objectif final.
Pour savoir ce que c’est, nous devons nous poser deux questions :
- Comment voulons-nous que nos auditeurs se sentent ?
- Que voulons-nous qu’ils fassent ?
En posant ces questions, cela vous prépare à vous connecter à l’esprit et aux émotions de l’auditeur, et les aide à appliquer le message afin que vous puissiez réellement atteindre le but que vous vous êtes fixé dans votre sermon.
Il est important que votre objectif final fasse référence à votre déclaration adhésive et aux résultats que vous voulez que vos membres repartent avec.
Une fois que vous avez établi votre objectif final et déterminé votre sticky statement, vous pouvez passer à la construction du cadre de votre sermon grâce à l’outlining.
Journée 2 – Étape 3 : esquisser votre sermon
Que vous choisissiez un simple sermon en trois points, un modèle que vous avez créé vous-même ou quelque chose de plus spécifique, comme la méthode » Moi, Nous, Dieu, Vous, Nous » d’Andy Stanly, assurez-vous de choisir ce qui fonctionne le mieux pour vous.
Vous voulez que l’esquisse de votre sermon soit le reflet de votre style de communication personnel, vous devez donc vous sentir à l’aise et inspiré lorsque vous construisez à partir de cette esquisse. Une fois que vous avez atterri votre type de plan, vous pouvez commencer le travail de remplissage des lacunes.
Assurez-vous d’esquisser votre message étape par étape en créant vos points principaux avec le sous-texte, les références bibliques et toute autre note qui devrait l’accompagner. Continuez à faire cela de sorte que vous créez des points pour chaque section du message.
Une fois que vous avez terminé le plan du deuxième jour, vous êtes sur la bonne voie et vous vous êtes mis en place pour réussir à prêcher un message bien pensé et préparé pour le week-end à venir.
Maintenant, il est temps de faire votre propre sermon en ajoutant votre propre style.
Journée 3 : Incorporez votre style
Maintenant que nous avons couvert la stratégie, l’étude et la façon de rendre votre message collant, il est temps de passer au jour 3 en discutant de votre style de prédication personnel.
Le jour 3 se fait généralement le mercredi, le troisième jour après que vous ayez commencé.
Récapitulons : vous avez la grande idée, vous connaissez l’objectif final, vous avez exposé le message en profondeur, et maintenant il est temps de vraiment donner vie au message en remplissant les détails. C’est la partie la plus amusante, car vous devez maintenant vous approprier le message.
Voici les spécificités de ce dans quoi vous allez vous plonger le troisième jour :
- L’introduction
- La conclusion
- Chaque section dans le modèle en 3 points
- Commencer à remplir les illustrations
Sermonary vous permet de mettre cela en page avec une configuration organisée et propre, et avec l’application de bureau Sermonary, vous avez accès à l’outil hors ligne qui vous permet de rédiger vos messages. Il suffit de se synchroniser avec le cloud pour que tout soit à jour, tout en éliminant les distractions comme Internet lorsque vous faites le dur travail d’écriture.
Donc, regardons les trois pièces qui composent le jour 3 de votre plan d’écriture de sermon de 7 jours.
Jour 3 – Étape 1 : Introduction
Bien souvent, lors de l’élaboration d’une introduction, il est facile de se laisser prendre à vouloir simplement capter l’attention de l’auditeur. Attirer l’attention est un ingrédient important de toute bonne introduction. C’est l’occasion d’établir votre message et d’engager le dialogue avec votre public, mais ce n’est pas la seule clé d’une introduction efficace et percutante.
Il y a vraiment trois parties dans une introduction. Tout d’abord, on veut attirer leur attention, puis on veut expliquer de quoi il s’agit et pourquoi ils doivent écouter le message. Enfin, vous voulez établir un lien personnel entre votre public et le sujet.
Nous faisons cela tout le temps lorsque nous partageons des histoires, des blagues, des clips vidéo, des statistiques, etc. Chaque fois que nous incluons quelque chose comme cela dans notre message, l’objectif est de frapper les trois éléments de l’introduction en attirant leur attention, en expliquant pourquoi ils doivent continuer à écouter et en établissant un lien entre eux et votre message.
Considérez ces idées et vous serez sur la bonne voie pour élaborer une excellente introduction.
Après avoir établi votre introduction, vous passerez en revue chacun des points que vous avez énoncés et expliquerez la signification de chaque verset et texte utilisé dans chaque section.
C’est votre façon de déballer chaque point d’appui de votre message d’une manière qui résonne avec votre congrégation. En même temps, vous pouvez commencer à faire référence à des applications et aider vos invités à réfléchir à la manière dont ils appliqueront cet enseignement dans leur vie.
Jour 3 – Étape 2 : Illustration
Une fois votre introduction mise en place, vous voudrez ajouter des illustrations. Nous vous recommandons de ne pas vous contenter d’ajouter tout ce qui vous semble susceptible d’attirer l’attention. Évitez les faux-fuyants qui attireront l’attention de l’auditeur mais ne le connecteront pas au véritable message. Recherchez quelque chose qui aidera les gens à comprendre le texte et le point que vous essayez de faire.
N’oubliez pas de considérer quel est le jeu final de votre message. Vos illustrations doivent soutenir cela.
C’est ainsi que vous ajoutez votre style personnel à votre sermon. Vos histoires, vos images et votre application du texte sont ce qui distingue votre message. Les illustrations vous permettent d’incorporer votre propre style dans la façon dont vous délivrez votre sermon et, en retour, elles auront un plus grand impact sur votre congrégation parce qu’elles viennent de vous.
Jour 3 – Étape 3 : Conclusion
La dernière pièce du puzzle du jour 3 est la rédaction de votre conclusion. À ce stade, il est important d’être clair et concis et vous pouvez le faire en résumant rapidement le message.
Il est important de faire attention à ne pas revenir en arrière et ajouter encore plus de ce que vous avez peut-être oublié de dire pendant le sermon.
Nous nous surprenons à le faire parfois avec l’intention d’enfoncer le clou une fois de plus, mais en fin de compte, cela fait plus de mal que de bien et ne fait qu’ajouter du bruit à votre sermon, le rendant moins clair.
Un manque de clarté se traduit par un manque d’impact.
Il est également important que vous évitiez d’entrer à nouveau dans les détails, en revenant sur votre message. Au lieu de cela, résumez brièvement et passez à l’objectif final de votre sermon ou de votre série.
La conclusion est également le moment où vous exposez ce que vous voulez que vos auditeurs fassent ensuite.
Le jour 3 peut sembler beaucoup, mais une fois que vous avez établi les bases, c’est très simple et cela vous aidera à construire votre sermon à travers un processus efficace et quelque peu transparent.
Avec cette approche de la rédaction de votre sermon, le jour 3 vous permet d’affiner votre style personnel. À ce jour, vous en avez terminé avec le plan, de sorte que vous pouvez vous concentrer sur les détails, puis passer au polissage du message sur lequel vous avez travaillé si dur.
Jour 4 : Solidifiez votre message
Cette étape consiste à prendre le temps dont vous avez besoin pour vraiment permettre au Saint-Esprit de travailler en vous et à travers vous pendant que vous préparez la Parole qu’Il vous a donnée.
Comme nous en avons parlé au début, vous ne voulez pas faire un message micro-ondes — le jeter ensemble à la dernière minute. Le Saint-Esprit peut travailler à travers nous à tout moment, et peut travailler à travers nous pendant que nous travaillons à travers notre processus.
Donc, utilisons la méthode de la mijoteuse et faisons vraiment mijoter les idées principales. Donnez-vous le temps de vous reposer dans votre message et permettez-lui de parler dans votre cœur pendant que vous l’attendez et que vous traitez votre sermon.
La pratique de la solidification de votre message consiste à réfléchir au travail que vous avez fait plus tôt dans la semaine pour arriver à ce point, puis à travailler ce contenu et à peaufiner vos mots pendant que vous polissez et commencez à pratiquer votre sermon.
Cette journée devrait être consacrée à la confirmation et à l’affinement des détails de votre message. À ce stade, votre plan est créé, vous avez rempli vos notes de message en détail, et vous avez décortiqué vos illustrations et les avez regardées de près.
Jour 4 – Étape 1 : Analysez les illustrations de votre sermon
Le jour 4 est celui où vous finissez d’ajouter des illustrations et des explications, mais il est important que vous regardiez de près et analysiez les illustrations que vous avez choisies, en considérant si elles soutiennent correctement votre message ou non.
Voyez si les images et les vidéos collectées illustrent et expliquent ce que vous voulez communiquer.
Vous posez ces questions :
« Est-ce que cela communique vraiment mon message de manière efficace ? »
« Est-ce que la grande idée ou l’idée générale à retenir est clairement visualisée à travers les illustrations que j’ai choisies ? »
« Est-ce que les illustrations et les visuels de mon message pourraient ajouter de la confusion à ma grande idée ? »
Passer par ce processus vous permettra vraiment de finaliser les illustrations que vous choisissez d’utiliser pour votre message et de vous assurer que vous avez choisi les meilleurs éléments de soutien possibles.
Lorsque nous regardons notre sermon dans Sermonary, nous gardons toujours la grande idée de notre message devant nous. Nous faisons cela parce que nous voulons qu’elle soit au premier plan de nos esprits et nous assurer qu’elle soutient notre sermon.
Votre grande idée doit guider et diriger la façon dont vous développez le contenu entourant votre message et ce contenu doit continuer à soutenir la grande idée en y renvoyant toujours.
Jour 4 – Étape 2 : tailler le gras de votre sermon
Il est temps de jeter un autre regard sévère sur votre message. À ce stade, vous voulez prendre un angle de clarifier volontairement votre sermon en le resserrant et en l’éditant si nécessaire. Réfléchissez vraiment à où et comment vous pouvez couper le gras de votre message, ce qui l’aidera à être beaucoup plus efficace à long terme.
Considérez ce qui suit :
- Y a-t-il quelque chose que vous voulez dire juste pour vous donner l’air plus intelligent ?
- Y a-t-il quelque chose que je veux dire parce que je pense que c’est drôle, mais qui ne reflète pas vraiment la grande idée, le texte ou la déclaration collante ?
- Qu’est-ce qui semble inutile ou redondant ?
- Y a-t-il des domaines qui semblent verbeux ou surcommuniqués ?
- Le langage que j’utilise est-il facile à comprendre pour la majorité des gens ?
Rappellez-vous, il est facile de parler longtemps. Mais il est difficile d’être succinct.
Donc, passez en revue votre message, lisez-le attentivement et considérez ce qui doit être élagué et resserré pour communiquer efficacement le sujet.
Le quatrième jour est simple, mais essentiel. Et lorsque vous suivez ce processus, vous aurez un manuscrit complet et finalisé, prêt à partir pour le week-end dès jeudi !
La bonne nouvelle à ce sujet, c’est que vous avez tout le week-end pour vraiment vous préparer à prononcer le sermon. Et à ce moment-là, vous aurez tellement réduit le cadre que la préparation du processus de livraison devrait être beaucoup plus fluide que jamais.
Après cela, nous passerons au jour 5 ; nous avons hâte de nous plonger dans l’un des derniers jours de votre plan de rédaction de sermon efficace.
Jour 5 : Observer le sabbat
Le 5e jour est le vendredi et à ce stade, votre message devrait être entièrement rédigé.
La plupart des pasteurs prennent un jour de congé à un moment donné de la semaine. Nous avons ajouté cela le vendredi, ou le cinquième jour de la planification du sermon. C’est à ce moment-là que vous faites une pause dans votre message.
Nous savons à quel point il est difficile de s’éloigner et de faire réellement une pause, mais c’est essentiel pour votre santé et votre bien-être.
Vous pouvez vous retrouver à penser encore au message et des choses peuvent vous venir à l’esprit pendant que vous vous reposez du processus, mais ce qui est génial dans le fait de prendre une pause programmée, c’est que vous pouvez vous reposer. Et Dieu peut faire tellement de choses dans et à travers votre posture de repos.
Essayez de tirer parti de cela. Faites tout ce que vous pouvez pour vous éloigner réellement du travail. Soyez intentionnel au sujet du temps que vous avez avec d’autres personnes en dehors du travail — votre conjoint, vos enfants, vos amis, Lorsque vous revenez à votre message le lendemain, vous serez en mesure de voir les choses sous un nouvel angle.
Le repos a une façon puissante de nous donner de la clarté et de permettre à Dieu de nous rencontrer de nouvelles façons. Profitez de cette journée — embrassez-la pour tout ce qu’elle est et tout ce qu’elle vous offrira alors que vous vous préparez mentalement, émotionnellement et physiquement pour votre moment sur scène où vous prêchez réellement le message sur lequel vous avez travaillé toute la semaine.
Le repos n’est pas seulement important — il est essentiel. Il vous remplira à nouveau pour que vous puissiez vous épancher auprès de votre congrégation le dimanche matin. Prenez le sabbat au sérieux et assurez-vous de le programmer dans votre plan d’écriture de série de sermons de 7 jours.
Maintenant que vous avez pris le temps de vous reposer, il est temps de passer aux dernières étapes de la planification du sermon juste avant de prononcer votre sermon.
Journée 6 : Dire et répéter
Le jour 6 est si important et c’est quelque chose que nous, pasteurs, manquons souvent. Souvent, les pasteurs écrivent leurs messages, ne répètent pas, puis prêchent depuis la scène en pensant que c’est la première fois qu’ils ont prononcé les mots à haute voix
Si c’est vous, nous comprenons… nous sommes tous passés par là. Mais nous voulons vous montrer une nouvelle façon de faire les choses, et adopter la pratique suivante va élever la façon dont vous prêchez de façon extraordinaire.
Au lieu d’attendre le dimanche matin pour dire votre message à haute voix, chaque pasteur devrait pratiquer son message – à haute voix – au moins une ou deux fois avant le dimanche matin. Vous pouvez le faire de plusieurs façons différentes, soit tout seul, soit devant un petit groupe de personnes.
Voyez le jour 6 comme l’occasion de prêcher votre message du début à la fin. De vous entraîner à dire les mots à haute voix, de travailler les couacs, de vous habituer au flux et au rythme de votre enchaînement, et de vous permettre d’élever votre niveau de préparation.
L’acte de dire les mots à haute voix vous révélera tant de choses — des façons d’améliorer votre message. À un niveau plus large, cela vous aidera à devenir un meilleur communicateur.
Alors que vous passez par les mouvements de la pratique, prenez des notes et modifiez votre message si nécessaire. Trouvez de meilleures façons de dire quelque chose qui ne sonne peut-être pas tout à fait juste ou qui n’est pas aussi efficace lorsque vous le dites à haute voix que vous le pensiez.
Si d’autres personnes vous écoutent, recueillez leurs commentaires et tenez compte de la façon dont la perspective d’une autre personne offre des idées ou des opinions sous un angle que vous n’avez probablement jamais envisagé.
Une excellente façon de vous entraîner est d’utiliser l’application Sermonary en mode podium et d’utiliser une limite de compte à rebours. Cela vous permet de pratiquer votre sermon avec un minuteur pour voir si votre sermon tient dans le temps imparti. L’appli vous dira juste à quel point votre message est en dessous ou au-dessus de la limite.
En pratiquant votre sermon, vous remarquerez les zones rugueuses qui peuvent exister et découvrirez où vous pouvez réduire ou élaborer votre message.
Vous n’avez même pas besoin d’être au bureau pour le parcourir. Prenez simplement 30 à 45 minutes, où que vous puissiez vous libérer le samedi. Ensuite, dites votre message – seul ou à un petit groupe – puis peaufinez-le pour l’adapter au temps imparti.
Travailler sur votre message toute la semaine atténue le stress d’essayer de jeter un message le samedi et vous permet d’être pleinement préparé quand il est temps de prêcher le dimanche matin.
Vous êtes maintenant prêt pour votre dernière étape du plan d’écriture de sermon en 7 jours.
Journée 7 : Prononcer le message
Le 7e jour est arrivé et c’est le jour pour lequel vous vous êtes préparé toute la semaine. Il est temps de prêcher le message que vous avez étudié, écrit et pratiqué toute la semaine.
Et parce que vous avez pris le temps d’étudier, de préparer, de pratiquer et d’évaluer, vous êtes maintenant prêt à prêcher. Vous n’êtes pas en train de bachoter pour vous souvenir de vos notes ou de vos points et vous avez un plan solidifié et préparé que vous pouvez tirer facilement sur l’application Sermonary et prêcher directement depuis la scène en utilisant le mode Podium.
Le mode Podium n’est qu’une des nombreuses fonctionnalités formidables proposées par Sermonary pour vous aider à écrire, planifier et prêcher votre message. Vous pouvez même exporter vos notes depuis Sermonary dans une présentation PowerPoint ou ProPresenter !
Il vous suffit de marquer les blocs que vous souhaitez avoir à l’écran, d’envoyer la présentation à votre équipe et vous êtes prêt à parler.
Maintenant que vous avez préparé votre équipe et fait tout ce qu’il faut pour délivrer un sermon puissant, prenez quelques instants pour revoir vos notes et vous détendre dans votre présentation.
Vous constaterez que vos messages deviennent plus efficaces parce que vous avez pris le temps de creuser dans la Parole de Dieu, de prier pour votre message et de réfléchir à ce que Dieu veut que vous disiez plutôt que de lancer un message ensemble le samedi soir.
Si vous n’êtes pas déjà inscrit à Sermonary, cliquez sur ce lien pour l’essayer maintenant. Nous pensons que ce plan d’écriture de sermons de 7 jours est un outil formidable – et vous pouvez également télécharger le PDF de ce plan d’écriture de sermons de 7 jours afin que vous puissiez travailler à travers les étapes par vous-même.
Écrire votre sermon hebdomadaire n’a pas à être un fardeau
En tant que collègues pasteurs, nous comprenons le stress de l’écriture de sermons. Lorsque vous dirigez une église, des vies sont en jeu et le poids de cette responsabilité ne disparaît jamais.
Mais vous avez été appelé à accomplir l’œuvre de Dieu en délivrant son message d’amour et d’espoir. Il est facile de se laisser prendre par les détails de l’exécution de ce grand appel et de perdre de vue l’appel lui-même, c’est pourquoi il est si important de vous mettre en place pour réussir.
Le plan de rédaction de sermons en 7 jours est destiné à vous équiper des ressources nécessaires pour que vous puissiez remplir votre appel au mieux de vos capacités. Nous pensons qu’il est important que vous preniez soin de vous afin de pouvoir mieux prendre soin de ceux que Dieu vous a confiés.
Soyez encouragé par le fait que le travail que vous faites est un travail du royaume et qu’il a un grand impact. Ne perdez pas de vue votre appel et recommencez à vous sentir inspiré pour écrire et préparé à prêcher chaque sermon à partir de maintenant.
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