La réalisation d’une restauration Valplast est plus indulgente par rapport à une prothèse partielle en métal ou en titane.
Vous pouvez utiliser soit le système polyvinyle, soit le système d’alginate Accudent pour prendre les empreintes. Les deux fonctionneront aussi bien l’un que l’autre. Avec le Valplast, il est important de s’assurer que les frontières de l’empreinte ne sont pas trop étendues. Si les bords sont plus courts, le partiel sera mieux adapté. Nous avons pris l’empreinte de ce patient avec du siloxane de polyvinyle. Assurez-vous que les bords ne sont pas trop étendus. Avec Valplast, il n’y a aucune raison de prendre une empreinte préliminaire suivie d’une empreinte finale. Vous pouvez directement prendre l’empreinte finale, ce qui élimine les étapes inutiles.
Lorsqu’il s’agit de faire un try-in des dents en cire, ne le faites que lorsque c’est absolument nécessaire (c’est-à-dire pour les cas dont l’occlusion est douteuse). Sinon, omettez complètement l’essayage. La raison : après l’essayage, le laboratoire doit retirer toutes les dents de la plaque de base et les repositionner directement sur le modèle. En effet, la plaque de base d’un partiel Valplast doit être fabriquée avec une épaisseur uniforme très précise. L’épaisseur du matériau détermine la qualité de l’adaptation du partiel final dans la bouche du patient.
La prise d’une occlusion est très simple. Réchauffez les jantes d’occlusion pour que la cire soit molle. Placez la jante d’occlusion dans la bouche du patient et laissez le patient mordre complètement dans la cire. Refroidissez ensuite la cire et retirez le bord d’occlusion de la bouche. Pour les cas où les dents manquantes sont minimes, vous pouvez enregistrer l’occlusion en utilisant votre matériau d’enregistrement d’occlusion en polyvinyle préféré à la place des jantes d’occlusion.
De nombreux professionnels dentaires ont déjà essayé les prothèses partielles Valplast et elles n’ont pas bien fonctionné pour eux. Ils nous demandent : » Pourquoi cela fonctionne-t-il maintenant ? «
Lorsque nous réalisons un partiel Valplast, nous bloquons le tissu de la crête buccale. Il est extrêmement important de le faire. Lorsque le partiel s’installe dans la bouche et contre le tissu palatin du patient, nous ne voulons pas que la bride du partiel coupe dans le tissu buccal ou gratte l’os lors de l’insertion. De nombreux laboratoires évitent cette étape de blocage parce qu’un double du modèle est nécessaire. Pour obtenir une prothèse partielle Valplast bien ajustée, cette étape est extrêmement importante et utile. Chez Stomadent, nous prévoyons que la prothèse partielle s’adaptera, c’est pourquoi nous bloquons les contre-dépouilles buccales avant de construire la prothèse partielle. Cela permet d’éviter les points douloureux et les nombreux ajustements au fauteuil.
L’épaisseur d’un partiel Valplast est extrêmement importante.
Si la plaque de base est légèrement épaisse, le matériau devient plus rigide et plus difficile à insérer. Cela aura pour conséquence de faire jauger le partiel dans les tissus. Stomadent prend très au sérieux l’épaisseur d’un partiel Valplast. Lorsque vous recevrez un partiel Valplast de notre part, vous verrez qu’il s’adapte effectivement bien.
Retour à notre patient.
Nous avons le partiel Valplast à remettre au patient que nous avons vu précédemment. Avant de mettre en place le partiel, placez-le dans de l’eau tiède à chaude du robinet. Cela permettra au matériau de devenir plus flexible. Vous serez ainsi en mesure d’insérer la prothèse partielle dans la bouche du patient avec plus de douceur. Une fois en place, la prothèse partielle devient presque invisible dans la bouche. Avec une sélection appropriée des teintes dentaires et gingivales, il est difficile de distinguer les vraies dents de celles qui font partie de la restauration. Lorsque le patient recherche l’esthétique et une restauration qui ne sera pas visible, Valplast est le meilleur choix. Cela est particulièrement vrai pour le remplacement de dents manquantes sur l’arcade supérieure.